Présentation de l’Association Culturelle Israélite de Lille.
La communauté juive se structure dans la ville de Lille pendant la période révolutionnaire.
En effet, le contexte était favorable suite à la décision de l’Assemblée Constituante (fin septembre 1791) qui émancipait les Juifs et en faisait des citoyens égaux aux autres habitants du royaume, les juifs d’Alsace et de Lorraine étaient autorisés à s’installer partout dans le pays.
Dans le courant du XIXème siècle, jusqu’à la guerre avec la Prusse en 1870-1871, la population juive ne cessait d’augmenter à Lille. Divers recensements ont permis de dénombrer entre 150 et 250 personnes à la veille de la guerre. La communauté lilloise totalisait plus de la moitié de l’effectif pour le Nord.
A la fin du XIXème siècle, la communauté juive de Lille affronta les événements qui touchèrent toute la France toute la France: l’affaire Dreyfus et les inventaires des lieux de culte suite à la loi de séparation des Églises et de l’État.
Comme toutes les communautés juives, celle de Lille est bouleversée par la Seconde Guerre mondiale marquée par les arrestations, la déportation, la spoliation.
Après la guerre, la communauté est meurtrie: les disparitions sont nombreuses et touchent des familles entières, les plaques commémoratives apposés sur les murs de la Synagogue en témoignent.
S’y ajoutent les noms des fusillés pour actes de Résistance. La communauté se reconstruit aussi vite qu’elle le peut avec le retour de quelques déportés et celui des familles réfugiées dans le sud, pas toujours épargnées de la déportation.
Sous l’impulsion de Monsieur Guy Bensoussan, l’Association Culturelle Israélite de Lille (ACIL) est créée en décembre 2022.
Celle-ci développe de multiples activités:
L’ACIL s’est donné pour mission de maintenir la pérennité de la culture juive, de perpétuer la mémoire de la Shoah, de lutter contre l’antisémitisme et toute forme d’exclusion. Elle participe à toutes les commémorations de la région des Hauts de France.
Elle se veut ouverte sur le monde et la cité.
La communauté juive se structure dans la ville de Lille pendant la période révolutionnaire.
En effet, le contexte était favorable suite à la décision de l’Assemblée Constituante (fin septembre 1791) qui émancipait les Juifs et en faisait des citoyens égaux aux autres habitants du royaume, les juifs d’Alsace et de Lorraine étaient autorisés à s’installer partout dans le pays.
Dans le courant du XIXème siècle, jusqu’à la guerre avec la Prusse en 1870-1871, la population juive ne cessait d’augmenter à Lille. Divers recensements ont permis de dénombrer entre 150 et 250 personnes à la veille de la guerre. La communauté lilloise totalisait plus de la moitié de l’effectif pour le Nord.
A la fin du XIXème siècle, la communauté juive de Lille affronta les événements qui touchèrent toute la France toute la France: l’affaire Dreyfus et les inventaires des lieux de culte suite à la loi de séparation des Églises et de l’État.
Comme toutes les communautés juives, celle de Lille est bouleversée par la Seconde Guerre mondiale marquée par les arrestations, la déportation, la spoliation.
Après la guerre, la communauté est meurtrie: les disparitions sont nombreuses et touchent des familles entières, les plaques commémoratives apposés sur les murs de la Synagogue en témoignent.
S’y ajoutent les noms des fusillés pour actes de Résistance. La communauté se reconstruit aussi vite qu’elle le peut avec le retour de quelques déportés et celui des familles réfugiées dans le sud, pas toujours épargnées de la déportation.
Sous l’impulsion de Monsieur Guy Bensoussan, l’Association Culturelle Israélite de Lille (ACIL) est créée en décembre 2022.
Celle-ci développe de multiples activités:
- L’organisation de conférences avec l’intervention de conférenciers prestigieux devant un très vaste public,
- L’édition d’un journal communautaire régional nommé «l’Alliance» composé d’éditoriaux des personnalités locales et nationales, il informe sur l’ensemble des activités organisées par l’association
- La publication de l’ouvrage intitulé « L’invisible de la rue Vaucouleurs: Sarah Halimi, femme juive assassinée». A cette ouvrage sous la direction de Monsieur Guy Bensoussan, celle du Grand Rabbin de France et de Michel Gad Wolkowicz ont participé 250 personnalités dont le pape François.
- Un programme éducatif numérique destiné aux jeunes de 10 à 16 ans est en cours d’élaboration. Celui-ci leur donnera la possibilité d’accéder à des cours officiels et des activités adaptées à leurs niveaux afin de leur fournir un enseignement enrichissant de la tradition juive à travers tout le pays depuis leur domicile jusqu’à la synagogue.
L’ACIL s’est donné pour mission de maintenir la pérennité de la culture juive, de perpétuer la mémoire de la Shoah, de lutter contre l’antisémitisme et toute forme d’exclusion. Elle participe à toutes les commémorations de la région des Hauts de France.
Elle se veut ouverte sur le monde et la cité.